Une surprise arrive!!!!!

La soirée etait déjà bien avancée quand Tienne arriva dans la petite ville dont il était le maire. Santa Maria n'était plus à proprement parler une petite ville, mais il y régnait toujours une tranquillité apaisante. Nous sommes loin des grandes villes ou un bruits de fond assourdissant se fait entendre au toute heure de la journée comme de la nuit.
Tienne aimait particulièrement la sensation que procurai cette ville, elle lui permettai de le tranquilliser lui qui était très tourmenté par son passé de soldats, et cela lui permettai d'oublier les horreurs qu'il avait vu et commises.

L'ancien soldat revenait d'une journée charger, il avais travailler toute la matinée avec des chevaux pour aider un ami. Il avait d'abord fallu les attraper, puis essayé de les dresser et enfin les ferrer.
Durant l'après midi il etait aller approvisionner le fort le plus proche en munition. Sur le retour il en avait pofité pour faire un petit crohet vers une ville ou il avait quelques contacts pour aller chercher sa surprise.
Il avait fait exprès de ne pas arriver trop tôt et de profiter de l'obscurité pour permettre à sa surprise d'arrivé le plus discretement possible.
Il entre donc dans la ville monter sur son poney, il etait suivit par deux voitures à bache, mais l'obscurité masquait les inscriptions qui etaient peintes sur les baches.
Il se dirigea directement vers le saloon mais il n'entra pas par la porte principale, il le conourna et s'arreta devant le porte de derrière qui servait à Henry pour faire rentrer les futs de ses différents tord-boyaux. Il aida donc les deux voitures et leurs occupant à décharger leurs affaires. Le noir empéchait de voir distinctement tout ce qui se passait mais on avais l'impression que plusieurs personnes était sortie des voitures et étaient directement rentré dans l'arrière pièce du saloon. On entendai parfois quelques brides de phrases "serez près dans combien de temps...", "ou est la caisse des chaussures...".

Puis petit à petit les mouvements autour des voitures se firent moins fréquent jusqu'a que l'on vit une personne sortir, femer la porte et se diriger vers la rue principal sur laquelle donnai la porte officiel du saloon. On reconnaissait tout de suite Tienne à sa démarche un peu gauche. Il marchait en boittant légèrement de la jambe gauche, vieux souvenir d'une balle reçu durant l'une de ses multiples bataille dont il tirait tant orgueil.
Il entra donc dans le saloon s'arreta quelque instant pour jauger la situation puis il s'avança vers le comptoir. Il fit un signe de tête à Henry qui partie directement dans l'arrière salle.
Il s'éclaissit la gorge et déclara d'une voie forte.

"Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs"Il marqua une petite pause.
"J'ai le bonheur de vous anoncer un nouvelle pour la ville"
Il marqua encore un temps d'arret pour éxiter la curiosité des ses concitoyens

"Musique

Calamitie cria......" Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiihaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!! ça c'est de la danse !!!!" Very Happy

Messages : 3 Date d'inscription : 20/04/2009

Voilà plusieurs jours que le jeune Cooper s’était enfui de l’orphelinat. Plusieurs jours, ou plusieurs mois ?
A force d’user ses bottes dans le désert aride, Jessie en avait perdu la notion du temps. Il ne savait même plus le nombre de villes traversées, cherchant du travail pour gagner une poignée de dollars, chapardant de temps à autre, un œuf ou des baies, afin de satisfaire cette faim que le tenaille en permanence.
Fuir, il lui faut fuir de cette vie misérable qu’il avait vécu jusque-là. Allez loin, toujours plus loin, en espérant trouver un petit endroit tranquille ou il pourrait s’installer.
A quelques miles de la, dans un ranch ou il avait travaillé quelques jours, on lui avait indiqué la petite ville de Santa Maria.
Après un jour de marche, Jessie était enfin arrivé dans la bourgade. La rue principale semble déserte.
Malgrés l'heure tardive, il part à la recherche d’une épicerie encore ouverte, pour revendre les quelques objets qu’il avait volé par ci ou par la, il s’avance lentement. Il remarque un hôtel sur la droite ou il pourra surement profiter d’un bon lit. Cela lui changera des nuits passées à la belle étoile.
Un brouhaha, mélange de musique et de cri, attire son attention. Le regard fixé vers le saloon d’où semble provenir ce bruit, et voilà que Jessie, attiré par la curiosité de ce qui s’y passe, ce dirige vers le bâtiment. Arrivé devant l’entrée, il regarde par-dessus les battants. Sur une scène improvisée, des danseuses en tenues affriolantes se donnent en spectacle. Dans la saloon, de nombreux cowboys, se rince l’œil, en criant combien les cuisses de l’une d’elle sont jolie.
Doucement, Jessie pose ses mains sur les battants, et les pousse pour rentrer dans l’établissement.

Messages : 1 Date d'inscription : 20/04/2009

Sauvage, une sale peau rouge, malchance d'être née ainsi et pourtant seule la couleur pouvait la différencier des autres femmes, enfance facile, amour partagé dans cette tribu de sauvages fermées aux étrangers et loin de tous. Fille de chef, fille devenant femme, femme promise à l'indien, fils de chef de tribu ennemie, faciliter la paix, elle, en une nuit perdant tout espoir de vivre, de vivre les élans de ses passions, ses curiosités. Promise, la Douce, promise, pur inconnu qui la prendrait, la faisant à tout jamais sienne, lui enlevant l'étincelle des yeux.

Ses pensées l'emmenaient souvent à fuir vers des lieux méconnus, se cachant de tous mais observant du lointain la vie autre. Habilement montée sur le dos de sa bête, la Douce pouvait galoper des heures, que les étoiles la guidant, l'astre éclairant faiblement son passage. Ils ne faisaient qu'un.

En cette nuit, feux dans un calme anormal, la Douce avait pu s'échapper, fuir les regards de sa mère, du chef, son père, ses frères, elle seule fille, protégée comme un rare joyaux, leur espoir d'arrêter les tueries entre deux peuples. Si seulement elle pouvait fuir au plus loin de ce pays, fuir ce peuple.

L'instinct l'a trahissait, Furie pénétrant ville, elle qui avait entendu si souvent sa mère interdire toute approche, danger disait-elle. Les rires fusant de lieux de plaisir l'attirèrent, toutes gardes tombées, galoppant vent plein visage, plumes posées contrastant de l'ébène de sa chevelure. Trop tard, elle y était, yeux se frayant rapidement chemin vers l'endroit le plus sombre, pieds nus guidant la bête, lèvres lui murmrurant de ne plus bouger, de ne pas hennir comme il le savait si bien faire lors d'attaque. Ce qu'elle aurait donné pour pouvoir marcher librement sans craindre les regards, sans craindre la mort.

Elle s'appelait Sakari, nom que sa mère désirait, la Douce, l'esprit de la douceur du guerrier indien.